L'Hardu(in) rire garanti

Ancien indépendant dans la publicité et correspondant pour l’AZ, Laurent Harduin est entré à l’administration communale en septembre 1997, tout d’abord au syndicat d’initiative, puis très vite, à l’Excelsior dans le service marketing.
En 2005, il réintègre l’Hôtel de Ville en partageant son temps entre le service population
et celui de la Jeunesse où il est maintenant à tempsplein, et ce, depuis 2007.
Si nous connaissons tous Laurent au sein de l’administration, c’est surtout grâce à ses prestations lors de la cérémonie des voeux où il a l’occasion
de nous montrer son (jeune) talent. En effet, depuis plusi e u r s années m a i n tenant, L a u r e n t met en scène avec  une petite troupe de collègues, les aléas de notre bonne Ville de Mouscron; voire de son administration; avec beaucoup d’humour et de dérision.
Il est aussi depuis quelques années le « fou du roi », personnage qui n’est pas pour lui déplaire, du cortège des Hurlus.
Mais Laurent, c’est aussi «Fous rires garantis». Une idée venue un peu par hasard. Alors qu’il cherchait une façon originale de fêter ses 40 ans, il a fait appel à son ami Marc Herman, (non, non, pas le frère d’Alain!) qui lance l’idée de créer un festival sur Mouscron. L’histoire ne dit pas s’il a dignement fêté son anniversaire mais une chose est sure, depuis on rit en ville! Une belle aventure qui a permis à notre trublion de rencontrer de nombreux artistes tels que Eliott, Gustave Parking, Les frères Taloche, Tex, Jacques Me r c i e r … mais surtoutde nousles faire (re) découvrir… Enfi n, Laurent, ce sont les «Miss, Mister et Lucioles » de Mouscron. Une organisation qui a débuté avec ses parents et qu’il poursuit avec sa soeur, car il avoue quand même ne pas être assez calé en danse pour préparer le spectacle. Aurait-il une préférence pour le défi lé en maillot ?

Nous lui avons quand même posé la question essentielle: comment se fait-il qu’il soit autant engagé dans le monde du spectacle ? Eh bien, comme Obélix, il est tombé dedans quand il était petit ! Son papa ayant organisé beaucoup de podiums à l’époque de Marcel De Keukeleire et Jean Vanloo, il a pu côtoyer beaucoup d’artistes.

A 18 ans, lors d’un spectacle scolaire, il a eu l’occasion de rencontrer Walter D’andréa et Annie Demeyere, professeurs de l’académie où il s’est alors inscrit, et avec qui  il a é n o r mément appris. La relève est bien assurée par Tristan (4 ans) et Fantine, qui du haut de ses 7 ans, n’a pas peur de monter sur scène et lorsque Laurent est en coulisses, il n’est plus «le fou du roi» mais devient tout simplement le plus fi er des papas !